On imaginerait volontiers, comme une espèce d’évidence, que le logiciel libre engendre des attitudes ouvertes, solidaires et équitables.
Que l’esprit même du logiciel libre amènerait obligatoirement des attitudes saines.
Donc, en toute logique, les femmes seraient égales aux hommes et donc au minimum en proportion comparable à leur présence dans le logiciel propriétaire.
Que la parole soit mâle dans la fabrication…