Vous promouvez, par le biais de la FNAC, dans le catalogue de Noël l’assassinat de femmes par des hommes.

Vous avez choisi, parmi tous les artistes, de promouvoir un chanteur qui proclame :

« Mais ferme ta gueule ou tu vas te faire marie-trintigner »

« J’vais te mettre en cloque, sale pute, et t’avorter à l’opinel »

"J’peux t’faire un enfant et te casser l’nez sur un coup de tête "

"J’rêve de péter les dents d’l’autre pétasse des Pussycat Dolls"

par le biais de la promotion de l’auteur de ces phrases.

Votre fondation n’est qu’un leurre, une escroquerie.

Vous n’êtes que des pitres qui se font une jolie façade sur le dos des femmes torturées et assassinées.

Vous êtes méprisables

Le lendemain j’ai reçu ça :

Madame,

Nous avons bien reçu votre mail daté d’hier concernant le chanteur Orelsan.

Nous comprenons votre émotion et sommes navrés d’avoir heurté votre sensibilité.

La mise en avant d’Orelsan dans le guide de Noël de la Fnac est effectivement une maladresse de notre part.

Nous vous assurons de notre vigilance sur cette question à l’avenir et vous prions d’accepter nos excuses.

Nous vous prions d’agréer, Madame, l’expression de nos sentiments les meilleurs.

FP
Directeur de la Responsabilité Sociale et Environnementale de la Fnac"

Au lieu de laisser les communiquants faire "un coup", ça n’aurait pas été plus simple de demander à l’ensemble des salariées et clientes ce qu’elles pensaient d’être promues par la FNAC comme objets de punching ball avec autorisation et encouragement de viols ?