Vélib’
Paris autrement
Par Perline, dimanche 15 juillet 2007 à 23:24 :: En vrac ::#150
20 000 locations de Vélib à Paris aujourd’hui : j’en étais !
- Retour de mon voyage en Vélib’
Vous trouverez partout des comptes-rendus des déboires et des bonnes nouvelles des essayeurs du premier jour.
Mais, après les toilettes gratuites, je voudrais que mes lecteurs profitent des avantages, à faible coût, de tout ce qui existe.
D’abord se déplacer, ça c’est la base.
Et puis aussi faire sa petite demi-heure de gym, recommandée pour le coeur et le souffle.
Moins prévu, un bronzage sympathique, si ce n’est un coup de soleil. Donc, n’oubliez pas la crème protectrice, et le chapeau.
Inédit : rencontrer des gens que vous n’auriez jamais rencontrés autrement. Des sourires partout, des questions permanentes, des rencontres au feu - rouge -, et même, une énorme moto me demandant si le vélo n’est pas trop lourd !
De nouveaux rendez-vous : on se téléphone, on se donne rendez-vous au Vélib’ de la Répu ?
Notons toutefois un inconvénient de taille : terminé le retour après la tournée des bars en lançant " C’est scandaleux, une grève surprise dans le métro, et le portable ne passait pas, je n’ai même pas pu te prévenir"...
Commentaires
Pour réduire réellement la pollution et l’encombrement, à quand les voitures en libre-service ?..
Evidemment Delanoe, notre bobo socialo qu’aime pas les coups, oserait pas s’attaquer au lobbie des taxis...
Et pourtant, ce serait une vraie révolution de mettre en communauté cet instrument de phantasmes privé, déjà !..
C’est une idée, même excellente, de "mettre en communauté" des véhicules. Mais alors, pour une circulation dans Paris, il ne s’agit pas de voitures, ou bien à condition qu’il y ait remplissage.
Dans Paris, pourquoi pas, surtout, l’équivalent des taxis-brousses ? Des voitures qui ne partent que quand elles sont pleines. Adapté à Paris, ce pourrait être des voitures qui vont dans une direction (affichée) et qui attendent le remplissage.
Une sorte de moyenne entre les bus et les taxis, qui ne serait plus utile si les autobus étaient plus fréquents.
Une autre solution, les petits bus, comme les bus locaux récemment intégrés dans certains quartiers, plus modulables, plus fréquents.
Hors Paris intra muros, c’est là que le problème se situe, mais ne dépend plus de la mairie de Paris.